Les séances de chimiothérapie, bien qu’espacées, constituent un calvaire pour les patients. Et pour cause ! Car, à notre connaissance, il n’y a qu’un seul centre—celui de Salah Azaiez à Bab Saâdoun— affecté à cette thérapie. C’est la croix et la bannière pour les patients qui, bien qu’ils aient des rendez-vous, sont obligés de se présenter à 4 h du matin pour un ticket, sinon ils ne pourraient pas être traités, non pas par mauvaise volonté du personnel médical, mais à cause de l’encombrement, vu le grand nombre de patients à traiter. C’est un problème à régler de toute urgence.